L'hypothèse du bonheur
La redécouverte de la sagesse ancienne dans la science contemporaine
Jonathan Haidt
D’un côté : dix grandes idées, découvertes à différents moments et différents endroits par les civilisations qui peuplent notre Terre. De l’autre : les plus récentes avancées scientifiques en matière de psychologie. De cette confrontation entre philosophie, religion et psychologie, Jonathan Haidt propose de tirer un ensemble de leçons qui peuvent s'appliquer à notre vie de tous les jours.
Partant des résultats de la recherche moderne sur le bonheur, illustrés par des anecdotes de la vie quotidienne, Haidt décrit la manière dont nous fonctionnons avec les autres, mais aussi avec nous-mêmes. Il nous guide habilement dans ce voyage entre passé et présent tout en commentant avec humour et pédagogie les méandres des théories psychologiques.
Une exploration dont on conclura que la meilleure des vies est, sans doute, celle où l’on parvient à équilibrer les contraires.
À propos de l'auteur
Jonathan Haidt est Professeur de psychologie à l’Université de Virginie. Il a été l’un des premiers chercheurs à attirer l’attention du monde scientifique sur l’importance des émotions dans tout ce qui touche à la moralité.
On en parle...
"Une passionnante introduction à la psychologie moderne et à la question des conditions favorisant le bonheur." (Jacques van Rillaer, Journal de thérapie comportementale et cognitive, 2011)"Partant des sagesses anciennes pour arriver aux théories psychologiques actuelles, Jonathan Haidt condense à merveille les grandes idées liées au bonheur (...)." (Femmes d'Aujourd'hui, novembre 2013)
Le livre est cité dans la revue Marie Claire. (Marie Pavlenko, Marie Claire, octobre 2013)
«Au fil de pages extrêmement bien documentées, Jonathan Haidt montre bien que le bonheur est certes lié à nos conditions de vie, à nos tendances optimistes ou pas, mais qu'il est aussi heureusement possible de le construire au quotidien, à travers sa vision du monde et son investissement dans des activités ou des relations amicales ou amoureuses.» (Véronique Janzyk, Équilibre, décembre 2010)